Le méningiome

Symbolique des maladies **

Le méningiome est une tumeur (multiplication cellulaire) qui se développe à partir de la dure-mère, une enveloppe (méninge) qui protège le cerveau. Cette tumeur se forme à la suite d’une peur pour son cerveau.

Ils peuvent par exemple se développer à la suite d’un traumatisme cérébral, ou de la peur de devenir fou.

Pour désactiver la peur pour son cerveau, il faut relire les événements stressant avec un regard différent, en comprenant pourquoi les choses sont arrivées, notamment sur le plan de la transmission transgénérationnelle des traumatismes.

« En cas de résolution du conflit psychique le méningiome se calcifie naturellement sans risque pour le patient » indique le Dr Thomas Lamotte, neurologue.

Exemples :

Un homme fait une paralysie de l’oeil gauche en raison d’un petit méningiome sur le dos de la selle turcique après une opération du dos. Ce jeune homme a eu une peur bleue de la mort. Il a subi une anesthésie générale pour l’opérer d’une hernie, mais à cause de sa peur de la mort, il a passé toute l’intervention en « décorporation ». Une sortie de son corps, qui lui a permis de « surveiller » toute l’opération de haut. Il a vu tous les gestes des chirurgiens et entendu les paroles notamment celles de l’anesthésiste. À son réveil, la prise de conscience de cette expérience l’a plongé dans une autre peur pour son cerveau, celle de devenir fou. Cette paralysie de l’oeil à le bénéfice de l’empêcher « d’aller voir », pour ne plus faire de décorporation.

Une femme enceinte craint que son père ne décède d’un cancer car des métastases sont découvertes dans le cerveau. Elle est inconsolable, et son mari la gifle pour qu’elle cesse de pleurer et qu’ils puissent enfin dormir. Son père meurt deux jours après son accouchement. On lui découvrira plus tard un méningiome pariétal droit, ainsi elle se sent protégée symboliquement d’une tumeur du cerveau.

Une femme fait un méningiome du 4é ventricule. La peur pour le cerveau de cette femme s’était mise en place quelques dizaines d’années plus tôt, lorsque son mari était tombé malade. On lui avait découvert une tumeur maligne du cerveau et il en était mort rapidement en quelques semaines. Interrogé sur la cause de la tumeur de son mari, le neurochirurgien avait répondu : « Mais madame, ça peut vous arriver demain ! ». Pour empêcher cela, elle développa un méningiome dans la région qui rumine la peur de la mort, pour se protéger de ce type de maladie foudroyante du cerveau.

Une femme fait un méningiome. Quelques années auparavant elle travaillait dans une usine où des grosses plaques passaient au dessus de sa tête, et elle craignait que l’une d’elles ne lui tombe sur la tête. Elle fait la maladie pour protéger son cerveau d’un éventuel choc.

---

** La symbolique des maladies est une spécificité de la psychothérapie qui a prit son essor depuis une dizaine d’année. Elle m’a été enseignée par le Dr Thomas Lamotte, neurologue, qui a passé sa carrière à écouter ses malades pour comprendre le lien entre les émotions et les maladies ^{î haut}