Symbolique des maladies
La mononucléose infectieuse se transmet par le virus d’Epstein-Barr (EBV), a priori par la salive. Elle se manifeste par une grande fatigue, une angine, une fièvre élevée et la présence de gros ganglions au niveau du cou.
Tourner la page sur une solitude.
La mononucléose est aussi surnommée la maladie du baiser car elle survient souvent quand des amoureux ont une première relation ou premier engagement (fiançailles). C’est pour cela qu’on dit que la maladie se transmet avec des baisers « profonds », car il faut que l’amour soit assez solide pour que l’amoureux tourne vraiment une page sur sa solitude.
Cette affection se caractérise par une lymphocytose lympho-plasmo-monocytaire, c’est-à-dire un excès de cellules sanguines mononucléaires, d’où le terme mononucléose. Ceci ajoute la nuance que la personne a dû défendre sa place dans une situation de solitude, ou qu’elle n’a plus à se battre pour ne plus être seule.
Les exemples suivants sont un peu plus atypiques mais ils permettent de constater que la maladie ne se déclenche pas uniquement chez les jeunes fiancés.
Cas recueillis par le Dr Thomas Lamotte ou moi-même :
M. A, est marié depuis de nombreuses années et il ne vit pas de changement sur ce plan là. Professionnellement, il a l’habitude de travailler en équipe, même s’il a dû par le passé régulièrement défendre sa place. Il est finalement nommé directeur d’une nouvelle et grosse structure administrative. En devenant chef, il n’est plus a égalité avec les autres et se sent étrangement seul. Il ne peut plus se confier à un alter ego dans le travail pour parler de telle ou telle difficulté. Il fait une mononucléose quelques semaines après sa prise de poste.
M. B est un ostéopathe et un célibataire endurci. Il déclenche des symptômes de fatigue au moment où il emménage dans son nouveau cabinet, seul cette fois-ci. Il aimait bien la présence de ses anciens collègues, mais la solitude ne le dérange. 15 jours plus tard, son état se dégrade encore sans raison. Il craint d’avoir déclenché une maladie grave comme un cancer ou une maladie d’Addison (grande fatigue) mais heureusement son médecin lui diagnostique une mononucléose. Ayant suivi la formation du Cridomh sur la symbolique des maladies, il fait une profonde inspection de son état de conscience en rentrant chez lui. Il réalise que son statut de solitaire ne lui convient pas réellement. Venant d’une famille très modeste, jeune, il n’a pu compter que su lui-même pour faire sa place. Il s’est conforté à cette identité avec les années, mais il prend conscience qu’il aimerait être davantage relié aux autres. Dès le lendemain, tous ses symptômes ont disparu ! Les examens médicaux complémentaires que son médecin lui a prescrit ne montreront la présence d’aucun virus, ni d’aucune anomalie particulière.
Cet exemple, montre que dans certains cas, lorsque nous avons un diagnostic médical précis, nous pouvons en réalignant notre état émotionnel en se mettant en vérité avec nous-mêmes, nous libérer de nos symptômes à partir de la symbolique de la maladie et que les symptômes peuvent disparaitre très rapidement.