La science reconnait aujourd’hui l’impact de nos émotions sur certaines maladies. A titre personnel depuis que je pratique la régulation émotionnelle je peux témoigner que mes maux de tête ont considérablement diminué. Une praticienne TIPI m’a raconté qu’après avoir régulé sa peur d’aller chez ses parents elle n’a plus fait d’infection urinaire en allant chez eux alors qu’auparavant elle en faisait systématiquement. Si vous écoutez des personnes atteintes de la maladie de Parkinson, les similitudes de caractère entre tous ces malades »très ou trop gentils » sautent immédiatement aux yeux, alors que les malades atteints d’Alzheimer n’ont pas du tout les même caractéristiques psycho-émotionnelles, pourtant peu de recherches s’intéressent à l’origine émotionnelle de la maladie de Parkinson !
On reconnait couramment que les malades qui « se battent » guérissent mieux que les autres, ce qui illustre parfaitement le proverbe »l’espoir fait vivre« . La régulation émotionnelle m’a appris qu’une émotion n’était au fond qu’une réaction du corps qui disparait très rapidement si on laisse le corps la réguler lui même.
Petit à petit, j’ai noté que S. Freud, qui était neurologue, reconnaissait déjà le lien entre les traumatismes et les maladies. C’est son collègue moins connu, le Dr Groddeck qui écrira davantage sur les liens corps-esprits dans la brochure « Détermination psychique et traitement psychanalytique des affections organiques ». Il écrire en 1917 à S. Freud que « […] l’âme et le corps est uniquement une distinction de mots, non pas d’essence ; que le corps et l’âme sont quelque chose de commun ». Mais la psychosomatique n’en est alors qu’à ses balbutiements et n’aura pas l’essor de la psychanalyse.
Une étude du Dr Moirot, un médecin français, sur les cancers dans les communautés religieuses, m’a semblé relativement pertinentes en révélant que chez les religieuses qui font vœux de silence, le cancer du larynx représente 9 % de tous les cancers alors que chez les femmes laïques, ce cancer est rarissime. Ces sœurs qui ont fait vœux de silence, ont donc autant de risque de développer un cancer du larynx que les personnes atteintes d’addiction alcoolo-tabagiques ! C’est à se demander comment elles occupent leur journée.
Il avait par ailleurs noté que le cancer du larynx semblaient se développer chez les carmélites au moment où la mère supérieure meurt, posant les premières pierres d’une réflexion sur le moment de la maladie.
Alors jusqu’où peut-on faire un lien entre les émotions et nos maladies ?
Les maladies sont un « mal à dire »
Au fur et à mesure que j’écoutais les personnes malades de mon entourage il m’a paru évident que la prise en compte des émotions sont un facteur largement sous estimé dans nos habitudes européennes de prise en charge de la maladie.
J’ai découvert le travail du Docteur Pierre-Jean Thomas Lamotte et des praticiens du CRIDOMH, en 2016 sur les origines émotionnelles et transgénérationnelles de nos maladies.
Fort de 40 années d’écoute des malades, ce neurologue aujourd’hui à la retraite, affirme notamment que :
» La cause primordiale d’une maladie ou d’une douleur est une souffrance morale qui n’a pas été exprimée ».
Ce travail mené auprès de plus de 30 000 patients, l’a amené notamment à trouver une réponse à ces questions :
– Pourquoi telle ou telle pathologie (cancer, infarctus, maladies chroniques…) se développe chez une personne alors qu’elle n’a aucun facteur de risque pour cette maladie ?
– Pourquoi certains patients guérissent mieux que d’autres ? (patients « répondeurs » à certains traitements)
– Les maladies ne sont-elle pas une forme de conditionnement Pavlovien pathologique ? Si oui, peut-on se déconditionner pour favoriser la guérison ?
Le symptôme a un sens symbolique précis
Très vite, en utilisant la grille de lecture des maladies du Dr Thomas Lamotte, j’ai pu mesurer l’utilité pour les personnes malades de confier ce qu’elles n’avaient jamais raconté à personne et observer des symptômes physiques régresser et disparaitre à la suite de la confidence de ces mauvais souvenirs.
On trouve la plupart du temps une origine émotionnelle commune aux malades d’une même pathologie.
Par exemple un cancer du col de l’utérus sera associé à la fin d’une dévalorisation avec un (ancien) partenaire. Le parkinsonnien voit généralement ses symptômes apparaitre à une période où il se reproche la mauvaise stratégie qu’il a choisi. Un malade d’Alzheimer commence à déprimer ou perdre la mémoire à la suite d’une séparation insupportable (mort, éloignement). Un mélanome de la peau apparait dans un contexte de manque de contact avec le père (l’autorité). Alors que les problèmes au gros orteil (goutte, halux valgus, mycose…) se mettent en place en lien avec une difficulté relationnelle avec la maman. Un syndrome du canal carpien apparait chez une personne qui a l’impression d’avoir durement travaillé pour rien. Un burn-out apparaitra précisément 6 mois après un imprévu. etc…
Vous aurez un aperçu plus détaillé de ces liens entre émotions et maladies sur les pages la symbolique du corps, et la symbolique des maladies
Ces liens si précis entre le corps et l’esprit pouvaient m’apparaitre comme de la folie il y a encore quelques années. Aujourd’hui je base mon activité professionnelle sur l’écoute des malades, à la recherches des mauvais souvenirs qu’ils n’ont jamais raconté. Toutes les pathologies, y compris celles qui sont dites « héréditaires » semblent bien liées à une histoire émotionnelle non confiée. Dans un grand nombre de cas la confidence d’une culpabilité enfouie inavouée permet la disparition spontanée des symptômes, et pour les autres symptômes ces confidences semblent indéniablement nécessaires à une récupération rapide à la suite d’un traitement ou d’une opération.
La maladie, une invitation au changement
De très nombreux témoignages de guérisons racontent que la maladie a été pour ces malades le déclencheur d’un changement de vie qui a été manifestement salvateur. Stephen Hawking, Michel Odoul, Nadalette La Fonta Six, Marthe Robin, Guy Corneau, David Servan-Schreiber, Michel Quoist… pour ne citer que les plus connus. Même si tous n’ont pas survécus à leur maladie, au moins ont-ils bénéficié d’une rémission inexpliquée. Mais j’ai également en tête les témoignages de dizaines de patients écoutés en séance ou sur internet dont certains sont ensuite devenus thérapeutes à la suite de leur guérison inattendue par le corps médical, mais pas impossible pour leur propre corps.
Cela semble tout à fait évident, si je m’empoisonne dans mon environnement avec des produits toxiques, il m’est indispensable d’en changer pour survivre. De même, la maladie est une invitation au changement. Parfois un changement d’environnement pour se libérer de personnes toxiques, mais parfois simplement un changement d’état d’esprit pour attirer à soi de nouvelles opportunités qui ne nous étaient pas accessible avec le mode de fonctionnement qui a vu apparaitre la maladie.
Ma spécificité est de proposer ce que la médecine ne sait pas bien faire : écouter les patients
Parler de son histoire peut prendre du temps, et les médecins ne sont pas formés pour cela. Leurs longues études sont faites pour autre chose que d’écouter les patients et ça n’a pas de raison de changer dans les années à venir. Aussi, si vous souhaitez accélérer votre rétablissement, je vous invite à mettre toutes les chances de votre côté en vous adressant aux bonnes personnes, pour ce qu’ils savent faire de mieux.
Par exemple, si vous pensez que l’alimentation a un impact sur votre bien être, alors je ne suis pas la bonne personne pour aider à changer votre alimentation. Mais si vous souhaitez opérer quelques changements d’état d’esprit vis à vis de vos relations ou chercher si vous n’avez pas des souvenirs qui n’auraient pas été suffisamment racontés et qui ont peut-être un lien avec vos symptômes, alors je suis la personne qui peut vous aider.
Je préfère vous prévenir que la guérison peut se produire en une seule séance, mais parfois l’accompagnement permet seulement de donner des pistes qui mettront du temps à « éclore » chez vous sur quelques mois voire quelques années. Oui, cela peut prendre vraiment du temps, je l’ai constaté sur moi, mes proches, et plusieurs centaines de patients. Mais pour cela, il faut commencer ce travail le plus tôt possible.
Si vous souhaitez faire ce travail de conscientisation des souvenirs désagréables que vous n’avez jamais ou pas suffisamment racontés en lien avec votre pathologie, je vous propose des entretiens d’environ 1h30.
Le prix proposé est de 70€ / entretien.
Pour prendre rendez-vous contactez moi au 07 69 35 81 28, ou par mail : admifred-lesemotions@yahoo.fr.
N.B : N’étant pas médecin je ne donne pas d’avis sur les traitements qui relèvent de la seule compétence de votre médecin.
Pour mieux connaitre le travail sur Dr Thomas-Lamotte vous pouvez vous rendez sur ce site : cridomh.com, ou consulter ces vidéos :